Quiconque a tenté de jouer à Pokemon GO pendant le week-end (16 et 17 Juillet) a du se rendre compte des énormes soucis de serveurs rencontrés par le jeu. Des hackers ont déclaré être responsables des longues heures d’indisponibilité du jeu pendant ces deux jours.

Un groupe de hackers (PoodleCorp) s’est fièrement annoncé comme responsable des crashs des serveurs de Pokemon GO ce week-end. Une revendication qui s’oppose aux déclarations du développeur à ce sujet.

Pokémon GO n’est qu’une première étape

Selon « XO », le leader de PoodleCorp, c’est son groupe de hackers qui est à l’origine des plantages en série des serveurs de Pokémon GO ce week-end. Ils auraient lancé une attaque DDoS (Distributed Denial of Service) sur les infrastructures de Niantic, le développeur de l’application. Mais malgré l’énorme vague d’insultes et de réprimandes des joueurs arrivée après leur revendication sur Twitter, ils ont précise qu’ils n’en avaient pas terminé. Ce week-end était selon eux un simple « test », préparant le terrain pour une attaque de grande envergue « bientôt ». Si les serveurs de Pokemon GO recommencent à faire quelques caprices en ce début de semaine, nous aurons donc maintenant vers qui orienter notre colère.

https://twitter.com/xotehpoodle/status/754771823867400193

https://twitter.com/xotehpoodle/status/754774548311117828

Pas de confirmation de Niantic

Malgré les quelques messages publiés sur Twitter par le groupe de Hackers depuis deux jours, le développeur de Pokemon GO (Niantic) se refuse à admettre que ses serveurs sont tombés sous le coup d’un violent DDoS. Peu après avoir lancé le jeu dans 26 pays d’Europe (sauf la France…) et après le début des ennuis, le développeur s’est contenté de préciser qu’il travaillait à la résolution du problème. Ils ont simplement annoncé dans la journée de Dimanche que tout avait été réglé, et que les serveurs étaient à nouveau stables.

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