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Watch Dogs 2 : Ubisoft a pensé à une voie pacifique !

Watch Dogs 2 disposera d’une voie plutôt pacifiste puisque vous pourrez finir le jeu sans tuer personne. Une alternative proposée par Ubisoft, qui a présenté son jeu un peu avant l’E3 2016 !

Lors de sa sortie il y a deux ans, Watch Dogs (premier du nom) avait mis sur la table plusieurs bonnes idées, mais avait laissé un goût amer d’inachevé. Les missions étaient décevantes, pour des joueurs trop souvent dirigés vers une solution unique et forcée. Un défaut qui sera réglé pour Watch Dogs 2, Ubisoft le promet.

Watch Dogs 2 : un hacker non-sanguinaire

Dans Watch Dogs 2, finies les missions où vous serez obligé de tuer votre cible pour remplir tous vos objectifs. Ubisoft n’a plus l’intention de vous diriger à la baguette, et l’a fait savoir récemment. Danny Belanger, game designer du jeu, a expliqué à ce sujet : « Le joueur a la liberté de jouer comme il l’entend. (…) Nous ne voulons pas le forcer à faire un choix précis quant à la manière dont vous voulez jouer. » Et pour permettre aux joueurs de faire les choix qui leurs conviennent, trois types de hacking seront possibles : « Ghost Hacker », « Trickster Hacker » et « Combat Hacker ». Le Ghost hacker usera de distractions et diversions pour ne pas se faire voir. Le Trickster ne s’impliquera pas directement dans ses missions, usant de tromperies et manipulations pour tout accomplir. Le combat hacker sera le plus direct, attaquant de front et n’hésitant pas à tuer. Le joueur pourra se cantonner à un seul rôle, si il veut par exemple terminer un run « No kill », où les mélanger selon son bon vouloir et selon la situation.

Nouvelle ville, nouveau héros

Et pour donner du sens à ces nouvelles approches offertes aux joueurs, Ubisoft a fait ses adieux à Aiden Pearce, et ouvre les bras à un nouveau pirate « branché », Marcus. Un hacker moins sombre, qui ne s’intéressera pas exclusivement aux conspirations et à la surveillance du citoyen. Son cheval de bataille sera cette fois le Big Data, avec les réseaux sociaux, les moteurs de recherche et tout le web moderne. Un hacker tellement branché qu’il utilisera même une imprimante 3D pour créer ses armes (il ne doit vraiment pas être pressé…).

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